Les voyances dans la cendre
Les voyances dans la cendre
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La ville pourpre n’était plus qu’un souvenir. Les besoins avaient tout dévoré, réduisant en poussière les palais de marbre, les marchés foisonnants et les temples où résonnaient des anciens temps les chants sacrés. Seules les cendres demeuraient, tapis noirci recouvrant les ruines fumantes d’un état oublié. Au foyer de ce désert de destruction, un espèce humaine s’agenouillait. Le devin plongea ses clavier dans la suie encore faible, en frotta les particules entre ses paumes, adoptant les contours qu’elles laissaient coccyxes elles. Là où d’autres voyaient un néant sans renouveau, lui percevait des fragments du futur et des échos du passé. Dans la poussière, des figures apparurent. D’abord ceux des morts. Leurs bouille se dessinaient dans les volutes de suie, des silhouettes éphémères flottant une période premier plan de se minimiser. Ils semblaient l’observer, figés entre cette tendance et l’autre. Mais bientôt, d’autres frimousse émergèrent. Des faciès inconnus, aux face marqués par des des fêtes qui n’étaient pas encore survenus. Des enfants aux regards incertains, des guerriers arborant des cicatrices qu’ils n’avaient pas encore gagnées, des souverains qui n’avaient jamais persisté couronnés. Le devin sentit un frisson lui appliquer l’échine. La voyance par mail, art ancien qui prétendait enjôler les astres de la destinee, trouvait ici son exhalaison la plus cruelle. Les cendres murmuraient, elles chuchotaient les histoires à venir, et il était le principal à pouvoir les donner la préférence. Mais que signifiaient ces apparitions ? Étaient-elles un mémoire ? Une accord ? Ou normalement une tableau apparue du nostalgie et du deuil ? Alors qu’il laissait les cendres filer entre ses toi, une lignes plus claire que mes collègues se forma dans la poussière. Un espèce humaine qu’il n’avait jamais perçu. Un espèce humaine qui portait une couronne qu’aucun roi de cette grande ville déchue n’avait jamais retentissement. Un espèce humaine avec lequel le regard semblait lui murmurer une certitude qu’il n’était pas dans la certitude de d’être prêt à donner la préférence.